Depuis trop longtemps, l’industrie la plus meurtrière au monde génère ses profits au détriment de la vie de nos enfants et de ceux à travers le monde.
Notre pays perd chaque année prématurément 75 000 Français en laissant les produits du tabac être vendus légalement.
Depuis trop longtemps, l’industrie la plus meurtrière au monde génère ses profits au détriment de la vie de nos enfants et de ceux à travers le monde.
Notre pays perd chaque année prématurément 75 000 Français en laissant les produits du tabac être vendus légalement.
Depuis trop longtemps, l’industrie la plus meurtrière au monde détruit l'avenir des jeunes et de leurs familles. Nous pouvons changer les choses.
Notre pays perd chaque année prématurément 75 000 Français en laissant ce produit, qui rend addict et tue un consommateur sur 2, être vendu légalement.
90 % des fumeurs quotidiens le sont devenus avant leurs 18 ans. Le tabagisme commence très majoritairement à l'adolescence et se poursuit à l'âge adulte, soutenu par la dépendance à la nicotine contenue dans les produits du tabac.
On estime que 200 000 jeunes entrent dans le tabac chaque année en France. Ces mineurs sont les futures victimes du tabac qui tue un fumeur régulier sur deux et fait perdre 20 à 25 ans d’espérance de vie.
C’est autant de vies, de souffrance, de familles qui pourraient être épargnées si ce produit n’était plus vendu aux jeunes.
Nous acceptons depuis trop longtemps la banalisation d’une industrie meurtrière et la légalisation de ses produits.
L’industrie à l’origine du problème
La firme RJ Reynolds est allée jusqu’à parler de « fumeurs de remplacement », nécessaires pour compenser le « taux de pertes » . Des documents de l’industrie du tabac divulgués à la suite de procès montrent clairement que celle-ci a délibérément ciblé et cible toujours les enfants comme sa principale source de consommateurs.
1,3 million d’enfants sont exploités dans les champs de tabac au détriment de leur santé et de leur avenir.
Dans leur quête de réduction des coûts de production, les multinationales s'installent dans des pays moins réglementés tels que l'Argentine, le Brésil, la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Malawi, et le Zimbabwe, où elles négocient des prix extrêmement bas qui entraînent, dans une grande partie des cas, le recours au travail des enfants par les producteurs.
Les enfants qui ramassent du tabac souffrent de la « maladie du tabac vert », véritable intoxication par la nicotine causée par son absorption par la peau. Elle se caractérise par des symptômes tels que nausées, vomissements, faiblesse, maux de tête, vertiges, crampes abdominales, difficultés respiratoires, ainsi que des fluctuations de la pression artérielle et du rythme cardiaque.
Selon l’OMS, chaque jour, un travailleur du tabac qui plante, cultive et récolte du tabac peut absorber par la peau autant de nicotine que celle contenue dans 50 cigarettes.
Pour que les enfants d’aujourd’hui, ne soient plus les victimes de demain. Pour arrêter de cautionner la vente du produit le plus meurtrier en France, et de contribuer à l’exploitation d’enfants à travers le monde.
Pour que l’avenir de ceux qui auront 18 ans en 2032, et de leurs petits-frères et petites-sœurs, ne soit plus jamais brisé par le produit le plus meurtrier de France.
La mesure proposée ne cible pas les personnes majeures qui ont déjà l’habitude de consommer des produits du tabac, mais celles qui n’en ont encore jamais ou peu consommé. Elle ne vise pas à sanctionner les consommateurs de produits de tabac mais les personnes les commercialisant. Afin d’en garantir l’efficacité, il sera nécessaire de prévoir l’augmentation des sanctions applicables aujourd’hui au non-respect de la vente de produits du tabac à des mineurs.
7 français sur 10 sont favorables à l’arrêt de la vente du tabac.
Pour que l’école, pilier de l’avenir des jeunes, ne soit plus un lieu d’entrée dans la dépendance et d’exposition aux dangers du tabac.
La présence du tabac aux abords des établissements scolaires expose les jeunes Français aux dangers directs du tabagisme passif sur leur santé. Cette présence banalise également l’acte de fumer auprès d’enfants et d’adolescents particulièrement sensibles, à cette période de vie, à l’effet de groupe et de mimétisme et va donc à l’encontre des prérogatives de l’Etat en matière d’éducation et de protection de la santé censées garantir le meilleur avenir possible à sa jeunesse.
7 français sur 10 sont pour la mise en place de davantage d’espaces publics extérieurs sans tabac.
Pour que les intérêts de cette industrie ne freinent plus jamais la lutte contre les cancers et les maladies du tabac. Ne laissons plus les lobbies de l’industrie du tabac menacer la vie des Français.
Il est nécessaire de créer deux dispositions en droit national pour empêcher les lobbies du tabac d’interférer dans les politiques de prévention et de lutte contre le tabagisme en France :
pourraient être
épargnées chaque
année en France
qui fument avant 18 ans
deviendront des
consommateurs
dépendants.
exploités dans les
champs de tabac
pour une génération
sans tabac